Oeuvre
œuvre en création

THE ORIGIN OF THINGS

Exploration d'une "usine" merveilleuse

Un projet d'exposition transdisciplinaire

The Origin Of Things dépeint l’exploration d’une usine «merveilleuse» et de ses environs.

Ce projet évoque notre rapport à la nature et au vivant qui évolue au gré des innovations scientifiques. Il interroge l’aspect éthique de l’artificialisation du vivant, qui devient une ressource de plus en plus rationalisée et productiviste. Qu’allons-nous faire avec la Nature à l’heure des avancées de l’intelligence artificielle, de la robotique et de la chimie ?

La technologie en symbiose avec le Vivant

L’usine de bio-production exploite un ingrédient précieux qu’elle parvient à produire par le biais de plantes transgéniques. Dans cet univers futuriste, des techniciens en combinaisons travaillent sur des interfaces sophistiquées. Ils sont experts en biochimie et en biomécanique. Des végétaux, alimentés par un mystérieux «plasma» circulant dans des tuyaux, donnent naissance à des objets vivants qui poussent comme des fruits. La technologie est en symbiose avec le monde végétal et il est parfois difficile de distinguer la frontière entre le vivant et l’artificiel.

Le soulèvement du règne végétal

Ces activités étranges sont bientôt perturbées par un soulèvement. L’informatique, dans un univers où la science basée sur la biologie est sujette à des virus sécrétés par les plantes. Ces dernières vont contaminer le réseau informatique. La forêt s’attaque également physiquement aux différents techniciens. Nous assistons à « L’affrontement entre qui ? ». Le personnel de l’usine va tenter de contrer cette prise de pouvoir du règne végétal.

The Origin Of Things © Jeremy Griffaud

Un jeu en réalité virtuelle

  • Un point de vue au casque de réalité virtuelle : un·e spectateur·trice est assis·e et interfère avec son environnement en utilisant ses contrôleurs. C’est lui ou elle qui, en activant les animations, donnera vie à l’espace.

 

  • Un point de vue en immersion collective : les autres spectateur·trices présent·es dans l’espace peuvent voir les interactions que le·la joueur·se au casque réalise car celles-ci sont projetées sur les murs de la salle d’exposition.

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